Ce qui compte, c'est quelque chose en retour !

Selon la dernière décision du BGH, les influenceurs ne doivent plus étiqueter leur contenu avec de la publicité. Vous pouvez découvrir de quel contenu il s’agit ici dans cet article.

L'Association de la Concurrence Sociale s'était plainte d'une publicité clandestine inadmissible de la part de trois influenceurs et avait exigé une suspension et des frais d'avertissement. Le BGH a désormais rejeté ces allégations dans deux cas. Le BGH n’a vu l’accusation de publicité clandestine que dans le cas d’un influenceur. C'était une publication Instagram sur une confiture de framboises. Cette publication n’était probablement « pas suffisamment clairement » marquée comme publicitaire.⁣ L’influenceur a reçu quelque chose en échange de la publication.

Le tout s’est bien terminé pour les 2 autres influenceuses, dont Cathy Hummels. Aucun des deux influenceurs n’a reçu quoi que ce soit en échange de leurs publications ! Et c’est là la différence cruciale ! Après cette décision, les influenceurs sur Internet sont désormais autorisés à faire référence à des entreprises sur des photos présentant des produits, sans aucune référence à la publicité - à condition que cela ne devienne pas trop promotionnel et qu'il n'y ait aucune contrepartie.

Cette décision est donc conforme à la nouvelle loi sur les influenceurs.

Voici ce que dit Cathy Hummels après le verdict :

« Si je dépense de l'argent pour un produit, c'est-à-dire mon propre argent, sur lequel j'ai également payé des impôts, j'aimerais pouvoir le recommander en fonction de mes propres convictions. Les médias télévisés sont autorisés à le faire, tout comme la presse écrite. Et je me considère comme un journal féminin.

Résumé

• La publicité payante et les offres de troc doivent toujours être marquées !
• Si vous faites simplement référence à des produits, des marques ou des sites Internet sans rien recevoir en retour, l’obligation d’étiquetage publicitaire ne s’applique pas.